Nous nous intéressons à la détection d’espèces bactériennes via des microdispositifs de détection ou d’identification rapide et précoce de la croissance bactérienne et de leur résistance aux antibiotiques (collab. laboratoire de Photophysique Photochimie Supra- et Macromoléculaires ENS Paris-Saclay, Institut de Chimie Physique). Nous développons pour cela des nanoparticules (NPs) luminescentes ratiométriques et sensibles au pH, l’ingénierie de surfaces et le greffage de ces NPs sensibles (thèse G. Moran, P. Miaobo). Ces NPs sont modulables (cœur – surface), et seront in fine intégrées dans un système microfluidique et un système de pré-traitement et concentrations d’échantillons (thèse en cours, M. Harris). Nous avons ouvert un axe sur la caractérisation et les applications des QD pour détecter la contamination bactérienne de fluides (partenariat PPSM ENS Paris-Saclay – thèse R. Sobczyk) ou la détection du glyphosate. Dans le cadre de ces travaux, l’équipe s’est impliquée dans la responsabilité scientifique du Centre de Photonique pour la Biologie et les Matériaux (Item 7).
Autour d’un consortium avec l’université Sophia-Antipolis et l’Institut Lavoisier de Versailles, nous développons également des surfaces superhydrophobes luminescentes comme revêtements antibactériens ou anti-biofilms. Nous ciblons des souches pathogènes (S. aureus et P. aeruginosa).
Contact :
Rachel Méallet