Actu

Laurent Le, lauréat 2024 du prix Treefrog de la SFP

Laurent Le, qui a soutenu sa thèse à l’ISMO en 2024, a reçu le prix Treefrog décerné par la division Physique et Vivant pour ses contributions innovantes à la microscopie de fluorescence de précision pour le vivant

Prix de la meilleure présentation à Hai Linh LE

Le 24 septembre, Hai Linh LE, doctorante de l’équipe SYSTEMAE a reçu ce matin le prix de la meilleure présentation lors du Workshop « Photoemission in diluted medium 2025 » organisé par la Division de Chimie-Physique de la SCF

Un nouveau type de couplage intramoléculaire

Dans le radical CH₃CO, une équipe de l’ISMO et du PhLAM a mis en évidence un couplage jusqu’ici jamais observé entre le spin d’un électron non apparié et la rotation interne d’un groupe méthyle (CH₃).

Avec JWST et ALMA, des astronomes assistent à la naissance d’un nouveau système solaire

Une étude menée par une équipe internationale, pilotée par Melissa McClure de l’Observatoire de Leiden, et impliquant pour la partie française des chercheurs du CNRS – Jennifer Noble du PIIM et Emmanuel Dartois de l’ISMO

Deux récompenses pour Oriane Shviro, doctorante dans l’équipe DIRAM

Oriane Shviro a reçu successivement le deuxième prix du meilleur poster à la quatrième session du forum FOCUS et le prix de la meilleure présentation orale de la journée de l’École Doctorale Molécules, Matériaux, Instrumentation et Biosystèmes (2MIB), pôle Chimie Physique, BioPhysique et Analytique.

Comment le dichroïsme circulaire sonde la chiralité des biomolécules ?

Podcast sur France Culture, la science au labo :
Comment le dichroïsme circulaire sonde la chiralité des biomolécules ?

La recherche sur la vie miroir et la chiralité mobilise des techniques en physico-chimie, pour mieux comprendre les mécanismes biologiques ou pour des applications à des fins thérapeutiques.

par Anne Zehnacker, chercheuse à l’ISMO

Première cartographie à haute résolution spatiale des glaces les plus abondantes d’un nuage moléculaire obtenue à l’aide d’une technique spécialisée avec l’instrument NIRCam du JWST.

Dans la dernière publication de l’équipe internationale du consortium “IceAge” (Smith et al. 2025), un des grands programmes exploratoires initiaux du James Webb Space Telescope, et incluant des chercheurs du CNRS – Jennifer Noble du PIIM et Emmanuel Dartois de l’ISMO – sont présentées les premières cartes d’un nuage moléculaire effectuées à très fort échantillonnage spatial, des espèces de glace les plus abondantes : eau, dioxyde de carbone et monoxyde de carbone. Cela a été possible à l’aide d’une technique spécialisée de l’instrument NIRCam du JWST. Les perspectives ouvertes par une telle cartographie des glaces nous permettront de comprendre les origines chimiques des variations d’abondance des glaces dans les nuages moléculaires, ainsi que la façon dont les molécules glacées évoluent tout au long de leur voyage des nuages moléculaires jusqu’aux disques protoplanétaires et aux planètes.

Preuve de concept de l’association MOF chargés de Gemcitabine & hadronthérapie pour traiter les cancers hypoxiques

Dans une étude parue dans International Journal of Pharmaceutics, des chercheurs de l’ISMO ont publié la première étude d’une stratégie innovante qui associe des nanoparticules organo-métalliques poreuses (nanoMOF) chargées du médicament anticancéreux Gemcitabine monophosphate (GemMP) et la hadronthérapie par ions hélium et carbone.

Assembler des nano-dispositifs moléculaires pour explorer leurs propriétés physico-chimiques

Grâce à un microscope à effet tunnel fonctionnant à basse température, des scientifiques de l’ISMO cherchent à parvenir à une meilleure compréhension, à l’échelle atomique, des processus de transfert de charge entre molécules. Leurs travaux de recherche font l’objet d’un article sur le blog « Focus Science » de CNRS Le Journal.

La composition de surfaces cométaires révélée par des micrométéorites antarctiques

Un programme de collecte de poussières extraterrestres mené en Antarctique a recueilli des micrométéorites anormalement riches en carbone, provenant très probablement de surfaces cométaires. L’analyse isotopique de ces particules exceptionnelles révèle une matière organique vraisemblablement formée lors de l’irradiation de la surface des comètes par le rayonnement cosmique. Ces résultats de l’IMPMC et de l’ISMO, publiés dans la revue Nature Astronomy ont fait l’objet d’un « Résultat scientifique » de CNRS Physique.